Congelamiento de cuentas de allegados de Chávez en Andorra

Publié le par Pour que vive Venezuela

Castellano - Article en Français par Que Vive Vénézuela

La Batllia mantiene bloqueadas varias cuentas bancarias que tendrían una doble vinculación.

Una ya ha sido probada: sus titulares serían personas de un amplísimo entorno de poder que se mueve en torno a la figura del presidente de Venezuela, Hugo Chávez.
Y la otra que se está investigando de alcance internacional: la vinculación de este dinero de cuentas bancarias, habría sido también relacionado en otros países, con la financiación del terrorismo.

La investigación hace meses que dura y tiene su origen en Estados Unidos.
Los trascendidos en el Principado, "sólo habría dinero congelados", y una instrucción en curso. Además, y siguiendo una recomendación internacional, habría tenido que contrastar, el origen del dinero de cuentas cuantitativamente importantes que tuvieran como titulares personas de nacionalidad venezolana.

Blanqueo
La alerta la habría dado el departamento del Tesoro estadounidense y otras agencias de control financiero de aquel país.

Según las fuentes consultadas, han sido repasados en instituciones financieras todos los activos que pudieran tener conexiones terroristas.Estas pesquisas se hicíeron en el marco de la guerra global contra el terrorismo encabezada por Estados Unidos. Los expertos estadounidenses descubrieron cuentas con sumas importantes de dinero que tenían como titulares destacados funcionarios del gobierno venezolano, algunos militares de aquel país y, también, un buen puñado de personas conocidas con el acrónimo PEPs (Personas Políticamente Expuestas).

Presumiblemente, el dinero procedía de un blanqueo de origen criminal y se utilizaba para el uso personal de los titulares y, supuestamente, para la financiación de actividades terroristas.
Directa o indirectamente, las directrices las daba Hugo Chávez.
Según las fuentes, entre los titulares de cuentas bloqueadas en todo el mundo habria familiares más o menos cercanos al dirigente venezolano.

Una de las primeras estaciones donde se detuvo la investigación fue Miami.
Sólo allí se habría constatado que había billones de dólares de procedencia más que dudosa y con posibles vínculos con la financiación terrorista.

Los investigadores estadounidenses concluyeron que, al menos, y aparte de otros centros Offshores, de cuentas del entorno de Chávez hay también en China, en Panamá y en Andorra.

Las agencias de control financiero de los Estados Unidos pusieron la situación en el conocimiento de la Unidad de Prevención de Blanqueo (UPB).
A su vez, este organismo del Principado, y tras las pesquisas correspondientes y certificar la existencia de las cuentas y contrastar la información recibida desde los Estados Unidos, puso en marcha la maquinaria judicial que llevó a bloquear las cuentas.
De ese dinero secreto administrado por el entorno de Chávez se podrían beneficiar destacadas organizaciones terroristas.

Los expertos creen que entre los grupos internacionales que podrían recibir la ayuda financiera venezolana estarían las FARC, Hizbul·là, Hamás, al-Qaeda, los Guardianes de la Revolución de Irán o ETA.
Sin embargo, los investigadores han asegurado trabajar con mucha cautela en el esclarecimiento del destino final del dinero hallado en cuentas de personas cercanas o afines a Chávez.

Lo que si los expertos tendrían mucho más claro es la procedencia ilícita de los dólares distribuidos en todo el mundo.
Así, se trataría de dinero blanqueado a partir, entre otros, del tráfico de drogas, del contrabando de armas o de extorsiones a gran escala.
Un papel importante en este sentido habrían jugado miembros de la denominada élite bolivariana, empresarios que supuestamente con el beneplácito del presidente habrían obtenido contratos gubernamentales muy poco ortodoxos.

Fuente : Diari d'Andorra

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En Français
L'Andorre bloque les comptes bancaires de "proches" de Chávez

Le Bailliage a bloqué plusieurs comptes bancaires qui auraient un double lien.

Un de ces comptes a déjà été examiné, et les détenteurs seraient des gens de pouvoir de l'entourage du président vénézuélien Hugo Chávez.
Un autre compte, à portée internationale celui-là, est en cours d'investigation. Il est intéressant de noter que ces comptes bancaires ainsi que l'argent qui y a été déposé, seraient également liés au financement du terrorisme, dans d'autres pays .

L'enquête qui dure depuis des mois a été initiée aux États-Unis.
Les seules rumeurs qui courent en Principauté, seraient que les comptes ont été gelé et qu'il y a une enquête en cours d'instruction.
En outre, l'enquête a pu déterminer que les personnes titulaires des comptes, sont de nationalité vénézuelienne, et que les sommes déposées sur les comptes sont quantitativement importantes.

Blanchiment de l'argent sale

L'alerte aurait été donné par le Département Américain du Trésor et d'autres organismes de contrôle financier dans ce pays.
Selon les sources, tous les actifs pouvant avoir des connexions avec le terrorisme, ont été convertis en institutions financières.
Ces enquêtes ont été faites dans le cadre de la guerre globale contre le terrorisme, et on été dirigé par les États-Unis. Les experts financiers américains ont découvert des comptes avec des sommes d'argent importantes, dont les titulaires sont des représentants du gouvernement du Venezuela, des militaires de ce pays ainsi qu'une poignée de personnes connues sous le sigle : PEPs = personnes politiquement exposées.

On peut présumer que l'argent provenait d'un blanchiment d'origine criminelle et qu'il a été utilisé pour l'usage privé de titulaires ainsi que pour financer des activités terroristes. Que ce soit directement ou indirectement, c'est Hugo Chávez qui donnait les directives

Selon certaines sources, parmi les détenteurs de comptes bloqués dans le monde entier, il y aurait de parents plus ou moins proche du leader vénézuélien.

C'est à Miami que les premières recherches ont été mené.
Il est intéressant de noter qu'à Miami seulement, il existait des milliards de dollars dont l'origine est des plus douteuse, ayant de surcroit de possibles liens avec le financement du terrorisme.

Les experts Américains ont conclu que mis à part le fait qu'il y ait d'autres centres offshores, des proches de Chávez ont également des comptes en Chine, au Panama et en Andorre.

Les organismes de contrôle financier des États-Unis ont fait part de la situation à l'Unité de Prévention du Blanchiment d'Argent (UPB).
À son tour, cet organisme de la Principauté, après enquête appropriée et avoir certifie l'existence des comptes, et comparé les informations reçues en provenance des États-Unis, a commencé la procédure judiciaire qui a conduit la cour à bloquer les comptes.
Certains organisations terroristes, auraient pu être bénéficiaires de ces fonds secrets ,administrés par l'entourage de Chávez.

Les experts estiment que parmi les groupes internationaux qui pourraient recevoir une aide financière vénézuélienne, il y aurait les FARC, le Hezbollah, le Hamas, Al-Qaida, les Gardiens de la Révolution de l'Iran ou l'ETA.
Toutefois, les experts ont assuré avoir travaillé très soigneusement, pour déterminer la destination finale de l'argent trouvé sur les comptes des personnes proches ou ayant des accointances avec Chavez.

Ce dont les experts seraient beaucoup plus certains, c'est l'origine illicite de dollars distribués dans le monde.
L'argent blanchi proviendrait entre autres, du trafic de drogue, de la contrebande d'armes ou d'extorsion à grande échelle.
A cet égard un rôle important aurait été joué par les membres de la soi-disant élite bolivarienne. Des hommes d'affaires qui avec la bénédiction du président, auraient obtenus des contrats gouvernementaux bien peu orthodoxe.

Source : Diari d'Andorra

Publié dans Terrorisme - Terorismo

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